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A bord d'Océane de juillet 2005 à juillet 2006              
 (Récapitulatif de notre première année de voyage à bord de notre catamaran)
             

Carte Nav


il (juillet - septembre 2005) : Cliquez ici pour

Brésil (juillet - septembre 2005) : Cliquez ici pour découvrir les photos      

Océane Fin juillet, petit pincement au coeur lors du dernier transfert maritime "retour" de notre Tipi Trotteur du Brésil vers la France. Après 370.000 km en notre compagnie, notre fidèle Land Rover va nous quitter : une future famille voyageuse nous le rachète. Une consolation dans notre séparation : Tipi Trotteur repartira pour un autre voyage aux Amériques... Longue vie encore à notre ami inséparable depuis 12 ans. "Merci à toi pour tous ces bons moments" !

     Pour notre petite famille, l'aventure se poursuit... par la mer !
Au Brésil, coup de coeur, coup de folie pour ce Catana 48. Il était là, en face de notre plage au bivouac, nous n'avons pas su résister à la tentation et à l'appel du grand large après avoir tant sillonné par voie terrestre. Notre premier rêve, le tour du monde à la voile, devient réalité en juillet.

    Après un petit retour en France pour voir nos familles et organiser ce nouveau mode de vie, nous resterons dans la baie de Salvador (Brésil) entre septembre et novembre afin de prendre en main notre bateau et de parfaire un itinéraire. Nous le baptisons "Océane", le deuxième prénom de Leslie.  Un immense bonheur en perspective !...

 





Brésil (sept 2005) Cliquez ici pour découvrir les photos           

  

Océane La ville de Salvador a un charme trés particulier. Son passé colonial reste bien marqué. D'ailleurs, Salvador fut la capitale du Brésil jusqu'au XVIII eme siècle. C'est la ville la plus "noire" du Brésil, temoin d'une histoire pas toujours flateuse.

Nous quittons Salvador pour une première navigation qui va nous emmener jusqu'au fond de la baie, en 4h par un vent portant.

Nous plantons l'ancre dans un nouveau décor et poursuivons les nombreux travaux que nous avons commencé sur Océane. Les enfants, comme nous d'ailleurs, apprécions ce mode de vie et le confort procuré par notre nouveau compagnon de voyage.  



 Brésil (oct 2005) Cliquez ici pour découvrir les photos  

Océane Nous consacrons quasiment toutes nos journées aux travaux sur Océane afin d'améliorer son confort et sa sécurité : filets de protection pour les enfants, nouveaux trampolines à l'avant, système de robinet d'eau de mer qui nous permet de réduire sensiblement notre consommation en eau douce, installation d'un nouveau compresseur pour le frigo, révision des moteurs, ainsi que de toute notre électronique qui présente quelques défaillances, etc...

Mais surtout, nous profitons de notre catamaran et de ce nouveau mode de vie. Afin d'améliorer la prise en main d'Océane, nous sillonnons la Baie de Salvador, à la recherche de petits coins sauvages. Des amis français avec leurs 4 enfants et la grand-mère viennent nous rendre visite pendant 3 jours. Même à 11 à bord d'Océane, la vie reste facile et agréable.

Nous attendons maintenant l'arrivée de la soeur de Fabrice qui arrive avec sa petite famille pour deux semaines. Ensuite, à partir de mi-novembre, nous souhaitons effectuer notre carénage (nos coques ont bien besoin d'une nouvelle peinture antifouling), puis nous commencerons la route vers le nord du Brésil : Récife, Natal, Fortaleza... puis la Guyane, le Vénézuela.

Leslie (4 ans en décembre) est toujours aussi facile. Toujours trés obéissante,  elle se montre aussi bien appliquée lorsqu'il s'agit de faire son cahier d'école. Nous avions enbarqué de France de nombreux livres scolaires avec des jeux éducatifs et elle adore. Elle peut y consacrer des heures et travaille avec beauoup d'attention. Elle adore aussi chanter (même si la voix ne permettra pas une selection à Star Académie !) et surtout les chansons mimées. Manger et passer à table est ausi une autre de ses passions, nous sommes obligés de contrôler les quantités...

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Nicolas (2 ans) s'est bien assagi ce dernier mois, même s'il taquine souvent sa soeur. Il comprend maintenant que jouer à deux présente un avantage intéressant. Nager dans l'eau autour du bateau est un vrai bonheur pour lui. Son maillot de bain bouée lui permet de patauger tout seul, sous notre surveillance bien sûr. Il adore dessiner et pour économiser quelques feuilles, une ardoise magnétique permet de faire des dessins à l'infini. Chaque jour, il cherche à améliorer ses oeuvres ! Depuis 10 jours, il a compris l'usage du pot, nous lui laissons donc les fesses à l'air toute la journée, bien pratique pour tout le monde...

Tous les deux sont en bonne santé et apprécie beaucoup ce mode de vie entre baignade, temps de jeux, navigation et balades à terre.


Brésil (nov 2005) Cliquez ici pour découvrir les photos

Réparation génois Ces dernières semaines ont été bien chargées en galères. Que se soit lors de nos petites navigations dans la baie de Salvador, ou au mouillage, nous avons subi de nombreux contre-temps techniques sur le bateau : nombreuses coutures du génois à refaire (photo), un aviron lancé à pleine vitesse est venu percuter notre coque en provoquant un trou (nous avons dû aller nous échouer sur une plage pour procéder à une réparation de fibre-résine), notre girouette, notre radar et notre pilote automatique nous lâchent successivement, nous abîmons nos dérives sur un haut-fond (il a fallu les sortir toutes les deux pour les réparer, 3 jours de travail), etc...

Nous avons beau développer un maximum d'énergie pour que l'état d'Océane soit au mieux, nous avons l'impression d'avoir vents et marées contre nous ! Et pourtant notre but est de quitter cette baie où nous avons déjà passer bien du temps, pour nous diriger vers le nord.

Mais ça y est ! Nous sommes tout début décembre et Océane semble maintenant en état pour prendre la mer. Ce sera une première pour nous. Notre objectif est de remonter tout le Brésil pour rejoindre les Antilles. Nous souhaitons faire une escale trechnique à Trinidad (en face du Vénézuela), il y a pour cela 3000 milles à parcourir (5500 km). Il va nous falloir gérer notre fatigue. Pour la nuit, nous envisageons de faire deux grandes périodes de quart : Marilyne fera le premier quart jusqu'à 1h du matin, Fabrice prendra le relais. On affinera selon nos besoins. En prévision de cette longue croisière hauturière, nous avons vérifié tout notre matériel de sécurité.

Durant les prochaines semaines, nous serons donc en mer et ne pourrons pas répondre aux trés nombreux mails que nous recevons régulièrement. Patience donc !


Navigation Brésil - Antilles (décembre 2005) Cliquez ici pour découvrir les photos  

Merci à tous pour vos trés nombreux messages. Nous vous adressons nos meilleurs voeux pour 2006 !

Réparation génois Pour une première longue navigation (nous n'avions encore jamais fait de navigation hauturière), nous avons commencé trés fort : 3000 milles (5500 km) et 3 semaines de mer !

Pour quitter Salvador et prendre la route plein nord, nous voulions profiter d'une dépression venant du sud qui nous aurait permis d'avoir un vent portant. Une fois sortis de la baie, la mer était franchement mauvaise, les vagues très grosses, le vent violent. Marilyne et les enfants étaient malades et les conditions de navigation n’étaient pas agréables. Et puis une vague déferlante est venue claquer dans l’annexe attachée à l’arrière et un des supports de l’annexe a lâché, cette dernière devenant bancale. Nous avons donc décidé de revenir en arrière sur Salvador et de différer notre départ de deux jours. Un dur coup au moral pour notre première sortie en pleine mer..

Nous avons donc fait notre vrai départ le 6 décembre. Les trois premiers jours ont été assez musclés, nous avions toujours un ris dans la voile (c’est à dire que la surface de notre grand-voile était réduite), voire deux dans certains cas. Le vent soufflait entre 25 et 35 nœuds, c’est-à-dire force 8. La mer était bien formée, ça claquait fort, les vagues envahissaient la moitié avant d’Océane, surtout que nous remontions contre le vent.

Les 3 jours suivants ont été plus tranquilles avec un vent force 4 à 5. Les quarts de nuit des premiers jours ne nous laissaient guère de répit. Il fallait toujours rester attentif à notre voilure (la nuit, nous faisions en sorte d’être volontairement "sous-toilé"), à notre cap et aux éventuels cargos croisés au large. Car pour éviter tous les petits pêcheurs le long de la côte, nous avions décidé de partir au large, à une centaine de milles des côtes.

Première étape à Cabedelo, entre Recife et Natal. Une fois au mouillage dans la rivière, quel plaisir de ne plus bouger et de pouvoir vivre "normalement" ! Après 3 jours de pause, nouvelle navigation jusqu'en Amazonie, dans un minuscule village de pêcheurs. Rencontres authentiques dans ce petit bout du monde.

La pêche à la traîne pendant nos navigation nous a toujours apporté du poisson frais : thons, coryphènes... qui, accompagnés de riz et d'une petite sauce au lait de coco, ont été notre menu quotidien. Dommage, une bataille d'une dizaine de minutes avec un espadon a été à l'avantage de l'animal ! 

Nous sommes arrivés à Trinidad le 30 décembre, juste le temps de décorer le bateau avec les enfants pour fêter Noël et le nouvel an avec une bonne soirée crêpe ! Nous allons maintenant remonter sur la Guadeloupe et découvrir les Antilles juqu'en juin.

 


Noël et Carénage à Trinidad (janvier 2006)  Cliquez ici pour découvrir les photos

Réparation génois Nous attendions avec impatience cette escale à Trinidad au sud des Antilles. Non seulement pour y fêter Noël avec les enfants (nous avons un peu retardé l'événement car jusque là en pleine mer, ce n'était pas pratique), et aussi pour effectuer la mise à sec d'Océane (grattage et ponçage de la coque, peinture antifouling, travaux de fibre de verre sur la coque, les dérives et les jupes arrières, vidange des sail-drive, électricité, plomberie, etc...)

Noël : après avoir minutieusement décoré le bateau avec les enfants et appelé trés fort le Père Noël, le cockpit s'est vu envahi de cadeaux...

Carénage : pendant 10 jours à terre, nous avons bossé sur le bateau de 8h à 23h. Jamais nous n'avons autant travaillé pour dépenser autant de sous !! Mais nous voilà avec un bateau tout beau.

En attendant, Océane vient de battre son record d'altitude : 3 mètres !

Nos trois semaines à Trinidad ont été bien remplies. Nous partons dans quelques jours vers la Guadeloupe.

 

 

 


Guadeloupe (février 2006)  Cliquez ici pour découvrir les photos

Réparation génois Fin janvier,  nous quittons Trinidad pour une étape directe sur la Guadeloupe : 3 jours et 3 nuits de mer. Notre dernière journée de navigation est marquée par deux moments forts. Tout d'abord, nous sommes pris en chasse par les Guardes Côtes Américains, une sorte de gros navire de guerre. C'est par la radio VHF que nous déclinons nos identités, destination, caractéristiques de notre bateau etc... Ils nous suivent pendant plus de 3h avant de nous confirmer que "tout est en règle" !  Ils nous lâchent enfin...

Ensuite, le vent se lève de plus en plus. 25, puis 30, puis 35 noeuds de vent. Des pointes à 40 noeuds. La mer se creuse dangereusement, nous naviguons sous 3 ris et un petit morceau de génois, la nuit tombe. Le vent siffle, la mer explose contre nos coques, nous hésitons quant à la décision à prendre. Finalement, nous bifurquons sur les Saintes (île en face de la Guadeloupe) car l'arrivée sur Pointe-à-Pitre est trop risquée. Sur le canal 16 de la VHF, les appels de détresse des plaisanciers se multiplient. Nous arrivons enfin au mouillage, fatigués par ces trois jours de mer et stressés par ces deux derniers événements. Autour de nous, des voiliers à la dérive se font remorquer par le CROSS (secours en mer). L'accueil météo en Guadeloupe est plutôt musclé !!

Le surlendemain, les conditions se calment et nous pouvons enfin nous rendre à Pointe-à-Pitre pour y accueillir une famille venue nous rejoindre sur Océane (et partager de longues discussions sur un voyage en Land Rover. Bruno, Véronique et leur fils préparent un départ d'ici deux ans !) Nous accueillons aussi la maman de Fabrice pendant 8 jours. Encore un excellent moment.

Nous passons d'une île à l'autre, d'une crique à une autre. Les noms sont évocateurs de rêve et de paradis : Marie-Galante, La Dominique, Les Saintes... Le tableau serait presque parfait si la semaine dernière nous n'avions pas failli perdre notre mat. En quittant un mouillage, les haubans (câbles qui tiennent le mat) deviennent tout mou lorsque nous hissons les voiles. Dans une manoeuvre d'urgence, nous affalons tout et revenons au mouillage. Un de nos câbles a lâché. Nous sécurisons le mat à l'aide de cordes et revenons sur pointe-à-Pitre au moteur, accompagnés des craquements du mat à chaque vague. 10 jours de travail seront nécessaires pour remplacer tout notre gréement. Nous avons connu une grosse frayeur, qui aurait pu être bien pire si le mat était tombé ! Mais bientôt d'autres navigations et mouillages de rêve nous attendent... Pour le moment, nous profitons du carnaval trés coloré de Guadeloupe et apprécions la grande gentillesse des Guadeloupéens. Pour la Grande Parade, les rues de Pointe-à-Pitre sont noires de monde. Une ambiance bon enfant et très festive. Leslie et Nicolas sont scotchés devant les centaines de tambours et la folie des costumes. On se régale les yeux et on s’explose les tympans ! Au moins, on oublie nos problèmes de gréement...

 


Guadeloupe (mars 2006) Cliquez ici pour découvrir les photos 

Réparation génois Nous avons la pression pour finir nos travaux sur Océane dans les temps !! En effet, Sophie, Jeff et leur flis Clément de 18 mois viennent nous rejoindre pour 2 semaines de navigation autour de la Guadeloupe. Le pied de mat est définitivement soudé la veille (il a même fallu soulever le mat à l'aide d'une grue, un long travail préparatif était nécessaire), le bateau lavé, les cabines préparées, les courses faites... Ouf !

Nous allons profiter tous les 7 des merveilles que peut offrir la Guadeloupe. Aprés un petit tour au marché coloré de Pointe-à-Pitre, retour sur l'Archipel des Saintes, qui est un incontournable pour nous, un vrai coup de coeur (souvenir intense notamment du sentier qui relie Grande Anse à la plage de Pompierre, avec des points de vue fabuleux sur les eaux turquoises et la barrière de corail où nous plongerons ensuite).

Nous découvrons aussi la côte "sous le vent" (à l'ouest de la Guadeloupe, donc abritée des alizés), avec notamment l'îlet Pigeon, dit aussi "réserve Cousteau". Ces deux minuscules cailloux à quelques encablures de la côte sont le lieu idéal pour l'observation de la flore et la faune sous-marine. A l'aide d'un simple masque et tuba ou en bouteille par 20 mètres de fond, le spectacle de la vie sous-marine si colorée est simplement étourdissant. Et ce n'est pas l'eau à 28°C qui nous pousse à ressortir ! Alors nous y passons des heures...

Plus au nord, nous mouillons en face du petit village de Deshaies. De là, nous apercevons l'île de Monteserrat dont le volcan principal est toujours en activité depuis 1995, une bonne partie de l'île ayant été détruite. Ce petit village paisible sera notre base pour une excursion en voiture à travers le centre montagneux de l'île de la Guadeloupe (étant pourtant baptisée "Basse-Terre" !) Décidemment, la Guadeloupe n'a pas fini de nous surprendre et nous sommes enthousiamés par la diversité de la nature et la gentillesse de sa population.

Bientôt, nous allons nous rendre dans un autre "bout de France" : la Martinique, plus au sud... Ensuite ce sera Sainte-Lucie et les Grenadines. Avis aux amateurs qui souhaiteraient venir nous rejoindre !

 


Martinique (avril - mai 2006) Cliquez ici pour découvrir les photos 

Martinique Nos déboires de bateau semblent être derrière nous... et tant mieux ! Nous profitons désormais à 200 % des joies que nous procure Océane : mouillages dans des lagons aux eaux turquoises (comme à Sainte-Anne et Saint-François en Guadeloupe), rencontres avec des voiliers amis, découverte de la flore et la faune marine avec les enfants. Leslie est bien à l'aise maintenant avec son masque, Nicolas progresse vite, motivé de voir sous l'eau des poissons "gros comme ça". Et il écarte les bras autant qu'il peut !

Nous avons un gros coup de coeur pour Petite-Terre, deux îlets minuscules situés entre La Désirade et Marie-Galante en Guadeloupe. Son accés est difficile, nous devons passer entre les rouleaux qui viennent déferler sur les hauts fonds. Le mouillage est réservé au faible tirant d'eau. Nous y restons une semaine. Mais quel bonheur de découvrir à pied ses îlots sauvages, battus par la houle du large. Et nos plongées successives nous permettent de nager avec des barracudas, des raies, des tortues de mer et autres requins citron. Nos yeux ne savent plus où donner de la tête !
Pour rejoindre la Martinique, nous quittons Petite-Terre en fin d'aprés-midi pour parcourir les 90 milles nautiques de nuit pendant que les enfants dormiront. Cette navigation n'est pas de tout repos, nous essuyons plusieurs grains successivement, le vent passant de 15 à 30 noeuds toute la nuit.

Aprés quelques jours à Saint-Pierre (ancienne capitale de Martinique jusqu'en 1902, détruite en 90 secondes par un irruption volcanique), nous rejoignons le Marin, lieu de passage de tous les voileux ! Nous y retrouvons d'ailleurs de nombreux bateaux amis rencontrés au Brésil, à Trinidad ou en Guadeloupe. Quel plaisir de se raconter à tour de rôle nos derniers mois de voyage !

Un jour où nous accueillons de nombreux enfants à bord, nous décidons de "percuter" (ouvrir) notre ancien radeau de survie. Celui-ci se gonfle trés bien malgré ses 13 ans d'age. Et les enfants s'en donnent à coeur joie (pendant que de notre côté, nous imaginons une longue dérive à bord de cet engin en cas de fortune de mer ! Gloups...)

Nous vivons une journée de rêve au Club Med. En échange de la projection de notre film sur notre premier tour du monde en Land Rover, nous passons une journée entière entre buffets à volonté et piscine... dur, dur !

Courant juin, nous descendrons vers Sainte-Lucie, puis les Grenadines, avant de rejoindre le Vénézuela qui demeure théoriquement en dehors des zones cycloniques.


Martinique et Grenadines (juin 2006)   Cliquez ici pour découvrir texte et photos

Martinique Ce mois-ci, nous vous proposons de nous rendre sur la côte au vent de Martinique, c'est-à-dire la côte est, celle qui est exposée aux alizées et donc souvent difficile d'accès. En effet, certaines passes étroites et peu profondes peuvent devenir de véritables pièges à bateaux par houle et vent un peu forts. Peu de plaisanciers s'y rendent et la nature y est restée trés sauvage.

Nous participons au départ d'une course de Yoles, embarcations à voile traditionnelles des Antilles, taillées dans le bois de gommier. Spectacle coloré.

Enfin, nous retrouvons des amis venus nous rejoindre 15 jours. Nous nous rendons tous ensemble vers l'archipel des grenadines à une centaine de milles plus au sud. A cette occasion, nous vous proposons de faire le point sur le rôle de l'électronique à bord d'Océane : navigation électronique sur ordinateur portable, radar, pilote automatique, centrale de navigation, VHF...

 

 

 


Venezuela (juillet – août 2006) 

Venezuela

 

Au sommaire :
- L’archipel des Testigos (Venezuela)
- La pêche (à la traîne, au harpon…)
- Les enfants à bord et leur vie de tous les jours

 

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